Le SAES-UASZ n’a pas aimé la violence des étudiants au sein de l’Université Assane Seck de Ziguinchor. Dans un communiqué, les enseignants écrivent : ‘’en moins de deux mois, à la faveur de mouvements d’humeur des étudiants, des violences ont émaillé les manifestations qui ont eu lieu dans l'enceinte de l'université faisant des blessés et des dégâts matériels énormes. Pour rappel, lors du dernier mouvement d’humeur des étudiants, l'un d'entre eux a été brutalisé par les forces de l'ordre en violation flagrante des franchises universitaires pendant que les étudiants eux-mêmes s'en étaient pris violemment à deux de nos collègues à l'endroit desquels ils avaient proféré des insultes. Cette fois-ci, ce sont les véhicules (patrimoine logistique) de l'université qui ont été calcinés. Ces actes répétitifs interpellent toute la communauté universitaire et les hautes autorités en charge de l'enseignement supérieur’’, explique Moussa Sow. ‘’Pour sa part, le SAES UASZ dénonce avec la dernière énergie ces violences d'où qu'elles viennent et invite l'administration rectorale à prendre les mesures idoines pour y remédier. Il faut, surtout pour ce qui concerne les actes ayant abouti à des dégâts matériels et à des sévices corporels, qu’une enquête soit ouverte et que des sanctions soient appliquées à la mesure des fautes commises. Le SAES UASZ, tout en invitant l'administration rectorale et l'autorité suprême à respecter leurs engagements, encourage et soutient le dialogue entre les parties prenantes pour une solution définitive mais objective à cette crise’’, ajoute le coordonnateur du SAES-UASZ.
Le Saes Université Assane Seck dénonce
Le SAES-UASZ n’a pas aimé la violence des étudiants au sein de l’Université Assane Seck de Ziguinchor. Dans un communiqué, les enseignants écrivent : ‘’en moins de deux mois, à la faveur de mouvements d’humeur des étudiants, des violences ont émaillé les manifestations qui ont eu lieu dans l'enceinte de l'université faisant des blessés et des dégâts matériels énormes. Pour rappel, lors du dernier mouvement d’humeur des étudiants, l'un d'entre eux a été brutalisé par les forces de l'ordre en violation flagrante des franchises universitaires pendant que les étudiants eux-mêmes s'en étaient pris violemment à deux de nos collègues à l'endroit desquels ils avaient proféré des insultes. Cette fois-ci, ce sont les véhicules (patrimoine logistique) de l'université qui ont été calcinés. Ces actes répétitifs interpellent toute la communauté universitaire et les hautes autorités en charge de l'enseignement supérieur’’, explique Moussa Sow. ‘’Pour sa part, le SAES UASZ dénonce avec la dernière énergie ces violences d'où qu'elles viennent et invite l'administration rectorale à prendre les mesures idoines pour y remédier. Il faut, surtout pour ce qui concerne les actes ayant abouti à des dégâts matériels et à des sévices corporels, qu’une enquête soit ouverte et que des sanctions soient appliquées à la mesure des fautes commises. Le SAES UASZ, tout en invitant l'administration rectorale et l'autorité suprême à respecter leurs engagements, encourage et soutient le dialogue entre les parties prenantes pour une solution définitive mais objective à cette crise’’, ajoute le coordonnateur du SAES-UASZ.
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