Le président du mouvement Dieum Kanam estime lui que cet appareil vient à son heure pour remplacer un vieil appareil de deuxième main qui avait coûté au Sénégal près de 40 milliards. Selon Lass Badiane, Airbus avait même arrêté la production du modèle A319 en 2010 pour le remplacer par l’A320neo, qui est une version plus moderne, plus économique en consommation de kérosène. «Dans ce monde nouveau, si le Sénégal ne veut pas subir, il doit être fort : fort pour garder la maîtrise de son destin, fort pour agir et pour peser, fort pour donner sa chance à sa jeunesse, fort pour permettre à chacun de nous de garder la maîtrise de sa vie. L’A320 néo est bien sûr plus sécurisé face aux menaces terroristes, car disposant d’outils adaptés de défense, que nous ne pouvons évoquer pour des raisons de sécurité nationale», fait savoir ce responsable de l'Apr qui estime que cette acquisition répond aux besoins des Sénégalais, qui ne veulent pas que le président de la République se déplace dans des vols commerciaux. «L’achat d’un avion de commandement présidentiel n’est pas une dépense de prestige mais plutôt un investissement productif et futuriste !», dit-il.
Lass Badiane : «l’achat de cet nouvel avion n’est pas une dépense de prestige, mais plutôt un investissement productif et futuriste»
Le président du mouvement Dieum Kanam estime lui que cet appareil vient à son heure pour remplacer un vieil appareil de deuxième main qui avait coûté au Sénégal près de 40 milliards. Selon Lass Badiane, Airbus avait même arrêté la production du modèle A319 en 2010 pour le remplacer par l’A320neo, qui est une version plus moderne, plus économique en consommation de kérosène. «Dans ce monde nouveau, si le Sénégal ne veut pas subir, il doit être fort : fort pour garder la maîtrise de son destin, fort pour agir et pour peser, fort pour donner sa chance à sa jeunesse, fort pour permettre à chacun de nous de garder la maîtrise de sa vie. L’A320 néo est bien sûr plus sécurisé face aux menaces terroristes, car disposant d’outils adaptés de défense, que nous ne pouvons évoquer pour des raisons de sécurité nationale», fait savoir ce responsable de l'Apr qui estime que cette acquisition répond aux besoins des Sénégalais, qui ne veulent pas que le président de la République se déplace dans des vols commerciaux. «L’achat d’un avion de commandement présidentiel n’est pas une dépense de prestige mais plutôt un investissement productif et futuriste !», dit-il.
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