La Sar lui file un marché de gré à gré de 5 milliards F Cfa : Baba Diao de Itoc accusé d’avoir encaissé le chèque, avant d’avoir livré le gaz
Si ce marché continue de susciter les commentaires les plus fous, c’est que, de sources généralement bien informées, il a été attribué à la Société de Baba Diao, sans le moindre appel d’offres. C’est avant que la Compagnie ouest africaine de crédit-bail (Locafrique) ne rachète les parts de Saudi Bin Laden group.
L’autre raison, qui fait balafrer la conscience collective, au sein de la Sar, confie-t-on toujours à Actusen.com, garde toute sa part de bizarrerie. Dans la mesure où la Société africaine de raffinerie a payé, dit-on, à ITOC les 5 milliards F Cfa, avant même que l’entreprise du richissime homme d’affaires n’ait, d’abord, convoyé au Sénégal le gaz en question. En d’autres termes, ITOC n’a pas été payée après service effectué. Une démarche de la Sar que beaucoup ne savent pas justifier.
Pour ceux qui ne le savent pas, créée en 1987, ITOC est une Société de négoce de pétroles bruts en Afrique et au Moyen Orient, de produits pétroliers – Butane, Naptha, Carburants automobiles (Supercarburant, Essence ordinaire, Gasoil) Carburéacteur Jet A-1 (Aviation) , Kérosène (Pétrole lampant) , Combustibles (Diesel oil, Fuel oil BTS et Fueloil HTS) et de Céréales.
Au Service Communication de la Sar, on balance : “je n’en sais, absolument, rien. Je n’assiste pas aux réunions pour savoir quel marché a été attribué avec ou sans appel d’offres”.
Joint par téléphone pour confirmer ou infirmer l’existence du marché de la controverse, le Service de Communication de la Société africaine de raffinage s’est voulu sec dans sa réponse : «je n’en sais absolument rien du tout».
Et, lorsque Actusen.com tente de persister, dans la perspective de lui soutirer quelques mots de plus, son interlocuteur met fin, à sa manière, à la conversation. Pour ce faire, il martèle : «je n’assiste pas aux réunions pour savoir quel marché a été attribué avec ou sans appel d’offres».
Récemment, Libération renseignant que les membres du Conseil d’Administration de la Sar ont constaté des irrégularités à propos d’un fournisseur de brut, à qui il a été alloué 5 cargaisons, sans le moindre appel d’offres.
«Une entrave à la transparence occasionnant à la SAR un manque à gagner de 15 millions de dollars», commentaient nos confrères du canard de Mermoz.
C’est dire que l’on pourrait aller, dans les prochains jours, vers des soubresauts cauchemardesques dans les relations entre différents acteurs de la Sar. Car, après avoir racheté les parts de Saudi Bin Laden Group, pas si évident que Locafrique assiste, impuissante, à l’octroi de certains marchés.
Richard SAMBOU (Actusen.com)
L’autre raison, qui fait balafrer la conscience collective, au sein de la Sar, confie-t-on toujours à Actusen.com, garde toute sa part de bizarrerie. Dans la mesure où la Société africaine de raffinerie a payé, dit-on, à ITOC les 5 milliards F Cfa, avant même que l’entreprise du richissime homme d’affaires n’ait, d’abord, convoyé au Sénégal le gaz en question. En d’autres termes, ITOC n’a pas été payée après service effectué. Une démarche de la Sar que beaucoup ne savent pas justifier.
Pour ceux qui ne le savent pas, créée en 1987, ITOC est une Société de négoce de pétroles bruts en Afrique et au Moyen Orient, de produits pétroliers – Butane, Naptha, Carburants automobiles (Supercarburant, Essence ordinaire, Gasoil) Carburéacteur Jet A-1 (Aviation) , Kérosène (Pétrole lampant) , Combustibles (Diesel oil, Fuel oil BTS et Fueloil HTS) et de Céréales.
Au Service Communication de la Sar, on balance : “je n’en sais, absolument, rien. Je n’assiste pas aux réunions pour savoir quel marché a été attribué avec ou sans appel d’offres”.
Joint par téléphone pour confirmer ou infirmer l’existence du marché de la controverse, le Service de Communication de la Société africaine de raffinage s’est voulu sec dans sa réponse : «je n’en sais absolument rien du tout».
Et, lorsque Actusen.com tente de persister, dans la perspective de lui soutirer quelques mots de plus, son interlocuteur met fin, à sa manière, à la conversation. Pour ce faire, il martèle : «je n’assiste pas aux réunions pour savoir quel marché a été attribué avec ou sans appel d’offres».
Récemment, Libération renseignant que les membres du Conseil d’Administration de la Sar ont constaté des irrégularités à propos d’un fournisseur de brut, à qui il a été alloué 5 cargaisons, sans le moindre appel d’offres.
«Une entrave à la transparence occasionnant à la SAR un manque à gagner de 15 millions de dollars», commentaient nos confrères du canard de Mermoz.
C’est dire que l’on pourrait aller, dans les prochains jours, vers des soubresauts cauchemardesques dans les relations entre différents acteurs de la Sar. Car, après avoir racheté les parts de Saudi Bin Laden Group, pas si évident que Locafrique assiste, impuissante, à l’octroi de certains marchés.
Richard SAMBOU (Actusen.com)