«Souleymane Téliko a fait un travail considérable à la tête de l’Ums. Je tiens à préciser que le président Téliko lui-même était présent lors du dernier Conseil supérieur de la magistrature. Il y était en tant que représentant du collège des magistrats de son grade. Il a été élu pour ça. Au moment de son affectation, il était présent. Il s’est défendu et a fait de même pour d’autres collègues. L’Ums n’a pas un rôle actif à jouer. Par contre, si nous nous rendons compte effectivement que de par une affectation, on sanctionne un collègue, nous pouvons effectivement réagir parce qu’à l’issue du conseil, certains collègues se sont rapprochés du bureau pour attirer notre attention sur l’irrégularité, pour eux, de leur affectation. Certains l’ont fait et leurs préoccupations ont été prises en compte par le bureau qui a saisi qui de droit. Mais le président Téliko n’en fait pas partie. L’Ums n’a pas été saisie par le président Téliko. On ne peut pas traiter d’un cas, alors qu’on n’a pas d’éléments objectifs pour le faire. Donc je ne pourrai parler d’affectation, de sanction, parce qu’il ne nous a pas saisis alors que d’autres collègues l’ont fait. Je ne sais pas ce qui est à l’origine de son affectation. Vous avez entendu le garde des Sceaux donner des arguments».
LE PRÉSIDENT DE L'UMS, CHIMÈRE DIOUF SUR L'AFFECTATION DU JUGE SOULEYMANE TELIKO «L'Ums n’a pas été saisie par le président Téliko. On ne peut pas traiter d’un cas alors qu’on a pas d’éléments objectifs pour le faire»
«Souleymane Téliko a fait un travail considérable à la tête de l’Ums. Je tiens à préciser que le président Téliko lui-même était présent lors du dernier Conseil supérieur de la magistrature. Il y était en tant que représentant du collège des magistrats de son grade. Il a été élu pour ça. Au moment de son affectation, il était présent. Il s’est défendu et a fait de même pour d’autres collègues. L’Ums n’a pas un rôle actif à jouer. Par contre, si nous nous rendons compte effectivement que de par une affectation, on sanctionne un collègue, nous pouvons effectivement réagir parce qu’à l’issue du conseil, certains collègues se sont rapprochés du bureau pour attirer notre attention sur l’irrégularité, pour eux, de leur affectation. Certains l’ont fait et leurs préoccupations ont été prises en compte par le bureau qui a saisi qui de droit. Mais le président Téliko n’en fait pas partie. L’Ums n’a pas été saisie par le président Téliko. On ne peut pas traiter d’un cas, alors qu’on n’a pas d’éléments objectifs pour le faire. Donc je ne pourrai parler d’affectation, de sanction, parce qu’il ne nous a pas saisis alors que d’autres collègues l’ont fait. Je ne sais pas ce qui est à l’origine de son affectation. Vous avez entendu le garde des Sceaux donner des arguments».
LES ECHOS
Ajouter un commentaire
Dans la même rubrique :
{{#item}}
{{/item}}
{{/items}}