L’arrestation du photographe du journal Sud quotidien Sidya Badji, arrêté avant-hier lors des évènements à la cité Keur Gorgui avant d’être relâché plus tard par les Forces de défense et de sécurité, indispose fortement les photojournalistes du Sénégal. Ses camarades de la corporation qui ne comprennent pas qu’il soit mis aux arrêts alors qu’il ne faisait que son travail, ont vivement dénoncé le zèle de certaines forces pourtant supposées mettre de l’ordre. «L'Union nationale des photojournalistes du Sénégal (Unpjs) proteste contre le mauvais traitement que la police a fait subir à un de ses membres, Sidya Badji, le jeudi 16 février à la cité Keur Gorgui. En effet, malgré sa carte nationale de presse par-devers lui, le reporter-photographe a été interpellé, contrôlé et son appareil photo confisqué. Son matériel ne lui sera rendu qu'après la destruction de la carte mémoire. L'Unpjs s'indigne profondément contre ce traitement inacceptable et cette atteinte au droit d'exercer notre métier encadré par les lois et règlements en vigueur», lit-on dans un communiqué signé du président de la structure, Mamadou Cellou Diallo.
L'Unpjs dénonce
L’arrestation du photographe du journal Sud quotidien Sidya Badji, arrêté avant-hier lors des évènements à la cité Keur Gorgui avant d’être relâché plus tard par les Forces de défense et de sécurité, indispose fortement les photojournalistes du Sénégal. Ses camarades de la corporation qui ne comprennent pas qu’il soit mis aux arrêts alors qu’il ne faisait que son travail, ont vivement dénoncé le zèle de certaines forces pourtant supposées mettre de l’ordre. «L'Union nationale des photojournalistes du Sénégal (Unpjs) proteste contre le mauvais traitement que la police a fait subir à un de ses membres, Sidya Badji, le jeudi 16 février à la cité Keur Gorgui. En effet, malgré sa carte nationale de presse par-devers lui, le reporter-photographe a été interpellé, contrôlé et son appareil photo confisqué. Son matériel ne lui sera rendu qu'après la destruction de la carte mémoire. L'Unpjs s'indigne profondément contre ce traitement inacceptable et cette atteinte au droit d'exercer notre métier encadré par les lois et règlements en vigueur», lit-on dans un communiqué signé du président de la structure, Mamadou Cellou Diallo.
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