Le diabète tue. Maladie chronique qui dure toute la vie, elle est coûteuse. A titre d’exemple pour les diabétiques de type 1, il faut 75.000 par mois pour les soins. Aussi, en prélude de la journée internationale du diabète du 14 novembre prochain, l’Association sénégalaise de soutien aux diabétiques a présenté le M-diabète, la nouvelle plateforme pour une meilleure prévention. La célébration de la journée internationale du diabète sera cette année accompagnée d’une innovation de taille. «M-Diabète» est un programme qui permettra à tous les adhérents de recevoir, grâce à leurs téléphones portables, des messages de prévention. D’après Dr Marie Ka Cissé, chef de la Division de la lutte contre les maladies non transmissibles, cette plateforme permettra aux femmes et aux filles de renforcer leur capacité à prévenir le diabète. «M-diabète aidera à avoir un accès facile et équitable aux connaissances et ressources», explique-t-elle.
Abondant dans le même sens, Baye Oumar Guèye, secrétaire général de l’Association sénégalaise de soutien aux diabétiques, indique : «Il y a aujourd’hui plus de téléphones portables que de personnes. C’est un avantage et il faut en profiter pour mieux faire passer l’information concernant la sensibilisation et même la prise en charge».
D’après la représentante du ministère de la Santé et de l’Action sociale, Dr Cissé, les facteurs de risque du diabète doivent être quotidiennement combattus. «Les bouleversements notés dans notre mode de vie, notamment la sédentarité, l’inactivité physique, l’alimentation trop riche en gras, trop salée et trop sucrée, sont autant de facteurs qui conduisent au diabète», laisse-t-elle entendre.
«La prise en charge du diabète de type 1 revient à 75.000 F par mois»
A en croire Baye Oumar Guèye, «la prise en charge peut être améliorée. Le diabète est une maladie complexe et chronique qui dure toute la vie». Il y a un réel problème économique par rapport à la prise en charge des diabètes. C’est du moins l’avis de Guèye. D’après ce dernier, le coût de la prise en charge s’élève à 75.000 F pour les diabétiques insulino-dépendants. «Le diabète est une maladie très coûteuse pour un citoyen lambda. Par contre, les charges liées à la prise peuvent s’alléger s’il y a une bonne organisation et une bonne planification avec le médecin traitant».
Khadidjatou DIAKHATE (Stagiaire)
Abondant dans le même sens, Baye Oumar Guèye, secrétaire général de l’Association sénégalaise de soutien aux diabétiques, indique : «Il y a aujourd’hui plus de téléphones portables que de personnes. C’est un avantage et il faut en profiter pour mieux faire passer l’information concernant la sensibilisation et même la prise en charge».
D’après la représentante du ministère de la Santé et de l’Action sociale, Dr Cissé, les facteurs de risque du diabète doivent être quotidiennement combattus. «Les bouleversements notés dans notre mode de vie, notamment la sédentarité, l’inactivité physique, l’alimentation trop riche en gras, trop salée et trop sucrée, sont autant de facteurs qui conduisent au diabète», laisse-t-elle entendre.
«La prise en charge du diabète de type 1 revient à 75.000 F par mois»
A en croire Baye Oumar Guèye, «la prise en charge peut être améliorée. Le diabète est une maladie complexe et chronique qui dure toute la vie». Il y a un réel problème économique par rapport à la prise en charge des diabètes. C’est du moins l’avis de Guèye. D’après ce dernier, le coût de la prise en charge s’élève à 75.000 F pour les diabétiques insulino-dépendants. «Le diabète est une maladie très coûteuse pour un citoyen lambda. Par contre, les charges liées à la prise peuvent s’alléger s’il y a une bonne organisation et une bonne planification avec le médecin traitant».
Khadidjatou DIAKHATE (Stagiaire)