Dans notre édition d’hier, nous avons évoqué le cas de Virginie S, qui a eu maille à partir avec la police avant l’intervention du secrétaire d’Etat Moïse Sarr pour la tirer d’affaire. Hé bien, il donne une toute autre version. «S'il y a intervention, c'est auprès de ma petite cousine Virginie et de ses sœurs pour suspendre une action que la famille voudrait engager contre deux "hommes" du commissaire Camara, qui, d'après le récit de Virginie, l'ont brutalisée, giflée, et insultée et NON une action pour la tirer d'affaire. Pour ton information, Elle était déjà à la maison et était repartie vers 16h (alors que l'affaire s'était passée dans la matinée) au commissariat d'elle même, accompagnée par une de ses sœurs pour une confrontation (organisée par le commissaire) avec ces deux policiers en vue de donner une suite judiciaire au traitement dégradant qu'elle aurait subi de ces derniers. Donc, s'il y a action, c'est dissuader la famille à tout arrêter et non le contraire». Dont acte monsieur le secrétaire d’Etat.