Il se fait tard
Les camps de radicalisent et ne cèdent rien à leurs adversaires, dans les combats en cours et ceux qui se profilent à l’horizon, au grand dam de Goorgoorlu. En effet, le bras de fer entre transporteurs et autorité de tutelle, qui se poursuit sans issue de secours, est parti pour rendre encore la semaine des petites gens des plus difficiles. La grève se poursuivant, se déplacer de la banlieue vers le centre-ville ou de la capitale vers l’hinterland et vice-versa ne sera pas une sinécure. Sauf qu’à l’usure, les rangs des grévistes risquent bien de se rompre. L’autre face-à-face, c’est à propos de cette scabreuse affaire de viol et qui est prévu chez Thémis. Que nenni ! Il n’aura pas lieu puisque l’une des parties s’est braquée et rejette l’invitation. Pour se dire prête à en découdre avec le régime sur le terrain de la rue. C’est à ce dessein que l’OS a harangué des troupes hier, leur demandant de se tenir mobilisées et prêtes au combat final. De l’autre côté, la Task Force beige-marron est aussi sur le qui-vive. Toutes choses qui n’augurent rien de bien rassurant pour les Sunugaaliens. Et ceux qui ont voix au chapitre doivent se bouger et fissa. Qu’ils le fassent en sourdine ou au grand jour importe peu. Mais il se fait tard. Waa Ji
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