Le troisième Tigre de Fass a envoyé des missiles à son prochain adversaire du 1er janvier. Pour Gris Bordeaux, ce duel sera âpre. Reparti sans tambour ni trompette en Espagne pour peaufiner sa stratégie, Ibrahima Ndione dit Gris Bordeaux a tenu à mettre en garde son prochain adversaire. Le lutteur de Fass promet un duel pimenté contre le fils de Double Less. «Je salue tous mes amis. Je m’apprête à entrer dans la salle pour travailler (job yeufou bandit)», indique-t-il dans une vidéo postée sur son compte facebook avant de lancer des coups en l’air. En tout cas, la rivalité entre Fass et Guédiawaye promet d’être rude. Dès leur premier «jakaarlo» (face-à-face), la tension était montée d’un cran. Un combat où les pronostics sont interdits. Pour la simple raison que les deux ont le même objectif : vaincre. Un résultat contraire pourrait éloigner le perdant du cercle des Vip. «Ce combat ne sera pas facile (meunteu yomb !). Il sera pimenté (dinako safal bamu saf sapp…) et salé (dinaako xorom). En clair, il sera très chaud», ajoute Gris.
Avec un palmarès de 19 combats pour 10 victoires, 7 défaites et deux sans verdict, Gris Bordeaux est un «Tigre» mal en point. Le successeur de Moustapha Guèye (il est intronisé 3e Tigre de Fass en 2010) ne fait plus rêver. Sept ans après avoir reçu le flambeau, Gris Bordeaux peine à légitimer sa prise de pouvoir à Fass. Il a payé cash ses performances en dents de scie (défaites contre Baboye, Yékini et Eumeu Sène et Modou Lo). «Il faut parler peu et travailler dur. Que mes fans se rassurent, je me défonce comme un fou dans l’unique but de le battre», conclut-il.
Avec un palmarès de 19 combats pour 10 victoires, 7 défaites et deux sans verdict, Gris Bordeaux est un «Tigre» mal en point. Le successeur de Moustapha Guèye (il est intronisé 3e Tigre de Fass en 2010) ne fait plus rêver. Sept ans après avoir reçu le flambeau, Gris Bordeaux peine à légitimer sa prise de pouvoir à Fass. Il a payé cash ses performances en dents de scie (défaites contre Baboye, Yékini et Eumeu Sène et Modou Lo). «Il faut parler peu et travailler dur. Que mes fans se rassurent, je me défonce comme un fou dans l’unique but de le battre», conclut-il.
Quelques informations utiles
Le troisième Tigre de Fass a envoyé des missiles à son prochain adversaire du 1er janvier. Pour Gris Bordeaux, ce duel sera âpre. Reparti sans tambour ni trompette en Espagne pour peaufiner sa stratégie, Ibrahima Ndione dit Gris Bordeaux a tenu à mettre en garde son prochain adversaire. Le lutteur de Fass promet un duel pimenté contre le fils de Double Less. «Je salue tous mes amis. Je m’apprête à entrer dans la salle pour travailler (job yeufou bandit)», indique-t-il dans une vidéo postée sur son compte facebook avant de lancer des coups en l’air. En tout cas, la rivalité entre Fass et Guédiawaye promet d’être rude. Dès leur premier «jakaarlo» (face-à-face), la tension était montée d’un cran. Un combat où les pronostics sont interdits. Pour la simple raison que les deux ont le même objectif : vaincre. Un résultat contraire pourrait éloigner le perdant du cercle des Vip. «Ce combat ne sera pas facile (meunteu yomb !). Il sera pimenté (dinako safal bamu saf sapp…) et salé (dinaako xorom). En clair, il sera très chaud», ajoute Gris.
Avec un palmarès de 19 combats pour 10 victoires, 7 défaites et deux sans verdict, Gris Bordeaux est un «Tigre» mal en point. Le successeur de Moustapha Guèye (il est intronisé 3e Tigre de Fass en 2010) ne fait plus rêver. Sept ans après avoir reçu le flambeau, Gris Bordeaux peine à légitimer sa prise de pouvoir à Fass. Il a payé cash ses performances en dents de scie (défaites contre Baboye, Yékini et Eumeu Sène et Modou Lo). «Il faut parler peu et travailler dur. Que mes fans se rassurent, je me défonce comme un fou dans l’unique but de le battre», conclut-il.
Avec un palmarès de 19 combats pour 10 victoires, 7 défaites et deux sans verdict, Gris Bordeaux est un «Tigre» mal en point. Le successeur de Moustapha Guèye (il est intronisé 3e Tigre de Fass en 2010) ne fait plus rêver. Sept ans après avoir reçu le flambeau, Gris Bordeaux peine à légitimer sa prise de pouvoir à Fass. Il a payé cash ses performances en dents de scie (défaites contre Baboye, Yékini et Eumeu Sène et Modou Lo). «Il faut parler peu et travailler dur. Que mes fans se rassurent, je me défonce comme un fou dans l’unique but de le battre», conclut-il.
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