Depuis quelques jours, la fièvre aphteuse fait des ravages au niveau du cheptel dans les régions de Kolda et de Sédhiou. Selon le chef du service régional de l’élevage de Kolda, environ 3000 sujets sont atteints dans sa circonscription. Dr Mohamadou Moustapha Sarr renseigne que 200 têtes sont mortes dont 150 dans le département de Vélingara.
En attendant de trouver un vaccin pour circonscrire la maladie, de l’autre côté de la frontière, la situation est inquiétante.
En Guinée Conakry, on parle de la fièvre aphteuse et d'une autre maladie encore inconnue. Dans la région de Kindia, cette maladie bovine a fini de ravagé le cheptel dans le secteur Solima, district de Bokaria. « Depuis deux semaines, témoigne un éleveur interrogé par Guinéenews, cette maladie a commencé à tuer nos animaux. Au début, les symptômes apparaissent au niveau des pieds notamment entre les sabots, la partie devient blanche avant qu’elle soit enflée. Après la partie s’enfle et cela se termine par contenir du pus et cela rend l’animal incapable de se déplacer. Son nez et sa bouche coulent avant de mourir.»
« Aujourd’hui, a-t-il poursuivi, tous les enclos autour de moi, sont remplis de bœufs malades et chaque jour qui passe, nous perdons au minimum trois bœufs. Nous demandons une intervention des autorités pour pouvoir diagnostiquer la maladie et trouver des remèdes. Sinon tous nos troupeaux seront décimés.»
Comme au Sénégal, ici aussi les services vétérinaires semblent dépassés par la situation. A part des prélèvements, ils n'ont pas encore trouvé de vaccin pour circonscrire la maladie.
Leral.net
En attendant de trouver un vaccin pour circonscrire la maladie, de l’autre côté de la frontière, la situation est inquiétante.
En Guinée Conakry, on parle de la fièvre aphteuse et d'une autre maladie encore inconnue. Dans la région de Kindia, cette maladie bovine a fini de ravagé le cheptel dans le secteur Solima, district de Bokaria. « Depuis deux semaines, témoigne un éleveur interrogé par Guinéenews, cette maladie a commencé à tuer nos animaux. Au début, les symptômes apparaissent au niveau des pieds notamment entre les sabots, la partie devient blanche avant qu’elle soit enflée. Après la partie s’enfle et cela se termine par contenir du pus et cela rend l’animal incapable de se déplacer. Son nez et sa bouche coulent avant de mourir.»
« Aujourd’hui, a-t-il poursuivi, tous les enclos autour de moi, sont remplis de bœufs malades et chaque jour qui passe, nous perdons au minimum trois bœufs. Nous demandons une intervention des autorités pour pouvoir diagnostiquer la maladie et trouver des remèdes. Sinon tous nos troupeaux seront décimés.»
Comme au Sénégal, ici aussi les services vétérinaires semblent dépassés par la situation. A part des prélèvements, ils n'ont pas encore trouvé de vaccin pour circonscrire la maladie.
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