Entre Goorgoorlu et Marianne, c’est une vieille histoire d’amour avec plus de hauts que de bas, qui a permis à la seconde, grâce à l’aide du premier, de charmer le reste du continent. Et lorsque souffla le vent des divorces, c’est plutôt pour une séparation de corps qu’optèrent le Sunugaalien et la Gauloise. Et il fut donc aisé de remettre le couvert progressivement et par à-coups. Et si ça a ronronné de Léo à Njool, avec Njomboor, la machine a quelque peu grippé. Et tout a finalement été remis en ordre par Niangal, dont on espérait qu’étant né après la séparation de corps, il couperait réellement le cordon. Que nenni ! «La recolonisation» s’est opérée en force. Or, ce que les Sunugaaliens voudraient, c’est que l’exemple gaulois d’organisation des élections soit copié et collé au Sunugaal. Car, même si le ministre est partisan, un parti-pris est inimaginable et, à l’arrivée, à l’instar des législatives qui ont bouclé hier leur premier tour, aucune contestation n’est relevée, ni en amont, ni en aval. Peut-être parce que plus chez Marianne que chez Goorgoorlu, Prési ne peut influer sur le processus. Et puisque Mac… et Mac… sont comme cul et chemise, l’un devrait copier sur l’autre pour les législatives.
Waa Ji
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