Le football sénégalais est en deuil. Boubacar Diallo, surnommé Poulho, père de l'international sénégalais El Hadji Diouf, double Ballon d'Or africain, est décédé ce dimanche aux environs de 5 heures du matin, des suites d’une courte maladie. Il avait été hospitalisé à l’hôpital de Thiaroye, à Dakar.
Son décès laisse un vide immense dans le monde du football sénégalais et au sein de sa famille, dont le nom est lié à l’une des plus grandes légendes du sport national.
Boubacar Diallo est né au début des années cinquante dans la région du Fouta, au nord du Sénégal, une zone aride et difficile. Il grandit au sein d’une famille de bergers, un environnement qui lui inculqua les valeurs de travail, de persévérance et de résilience. À l'âge de deux ans, il quitte sa région natale pour s'installer à Louga, où il vit chez son oncle maternel, Mamadou Diallo, surnommé « Kaw ».
C'est dans cette ville de Louga que Boubacar Diallo développe sa passion pour le football, évoluant dans les quartiers de Thiokhna et Ndiobène. Sa passion et son talent ne passent pas inaperçus, et il intègre rapidement l’équipe locale de Santos de Louga. Ses performances impressionnantes attirent l'attention, et il rejoint ensuite le Brack de Saint-Louis, où il poursuit sa carrière. À seulement 18 ans, son talent lui ouvre les portes de l’Équipe nationale du Sénégal.
Après deux saisons réussies à Saint-Louis, Boubacar Diallo retourne à Louga pour jouer avec le Ndiambour, un club emblématique de la ville. Cependant, sa carrière prend un tournant international en 1976 lorsqu'il décide de tenter l’aventure à l'étranger. Il rejoint d'abord le Stade Malherbe de Caen, en France, avant de s'installer au Portugal, où il évolue au sein du club de Belenenses.
Boubacar Diallo a marqué son époque par son jeu technique et son esprit d'équipe. Il a été un véritable pionnier pour le football sénégalais, ouvrant la voie à d'autres talents qui, comme son fils El Hadji Diouf, ont brillé sur la scène internationale. Il restera dans les mémoires comme un homme humble, déterminé et passionné par son sport.
Son décès laisse un vide immense dans le monde du football sénégalais et au sein de sa famille, dont le nom est lié à l’une des plus grandes légendes du sport national.
Boubacar Diallo est né au début des années cinquante dans la région du Fouta, au nord du Sénégal, une zone aride et difficile. Il grandit au sein d’une famille de bergers, un environnement qui lui inculqua les valeurs de travail, de persévérance et de résilience. À l'âge de deux ans, il quitte sa région natale pour s'installer à Louga, où il vit chez son oncle maternel, Mamadou Diallo, surnommé « Kaw ».
C'est dans cette ville de Louga que Boubacar Diallo développe sa passion pour le football, évoluant dans les quartiers de Thiokhna et Ndiobène. Sa passion et son talent ne passent pas inaperçus, et il intègre rapidement l’équipe locale de Santos de Louga. Ses performances impressionnantes attirent l'attention, et il rejoint ensuite le Brack de Saint-Louis, où il poursuit sa carrière. À seulement 18 ans, son talent lui ouvre les portes de l’Équipe nationale du Sénégal.
Après deux saisons réussies à Saint-Louis, Boubacar Diallo retourne à Louga pour jouer avec le Ndiambour, un club emblématique de la ville. Cependant, sa carrière prend un tournant international en 1976 lorsqu'il décide de tenter l’aventure à l'étranger. Il rejoint d'abord le Stade Malherbe de Caen, en France, avant de s'installer au Portugal, où il évolue au sein du club de Belenenses.
Boubacar Diallo a marqué son époque par son jeu technique et son esprit d'équipe. Il a été un véritable pionnier pour le football sénégalais, ouvrant la voie à d'autres talents qui, comme son fils El Hadji Diouf, ont brillé sur la scène internationale. Il restera dans les mémoires comme un homme humble, déterminé et passionné par son sport.