Le doyen des juges d’instruction poursuit son enquête, à son rythme et selon sa méthode dans le dossier opposant Adji Sarr à Ousmane Sonko. Alors qu’on s’attendait à l’audition sur le fond du nouveau maire de Ziguinchor, le juge Maham Diallo préfère d’abord passer par les confrontations. Jeudi prochain, le magistrat instructeur va mettre en confrontation Adji Sarr à Ndèye Khady Ndiaye. Devant les accusations persistantes de Adji Sarr, la patronne de Sweet Beauty avait blanchi totalement l’opposant politique.
Qui de Adji Sarr et Ndèye Khady Ndiaye dit la vérité ? C’est ce que cherche à savoir le doyen des juges d’instruction qui poursuit sereinement son travail sans faire dans la précipitation et sans qu’on lui dicte son calendrier des auditions. Alors qu’on attendait l’audition au fond de Ousmane Sonko, le magistrat instructeur a préféré changer de tactique et procéder d’abord à une confrontation. Il s’agit de la confrontation entre Adji Sarr et son ex-patronne, Ndèye Khady Ndiaye. C’est jeudi prochain, 14 avril 2022, qu’elles se feront face au cabinet du juge Oumar Maham Diallo. En fait, lors de son audition, Adji Sarr avait chargé à bloc Ousmane Sonko et avait fait des accusations persistantes. Selon elle, la patronne du salon Sweet beauty était souvent présente quand Sonko venait au Salon. Pour dire qu’elle devrait en savoir quelque chose. Poursuivie pour complicité de viol, la patronne du salon Sweet Beauty, pour sa part, a dégagé en touche. Du moins, en ce qui concerne le présumé viol dont fait état son employée. Ndèye Khady Ndiaye avait totalement nié les faits. A l’en croire, il est impossible que l’opposant politique puisse abuser sexuellement de son employée, dans les conditions dans lesquelles ils se trouvaient. Deux déclarations contraires que le juge cherche à confronter pour faire rejaillir la vérité.
Quid maintenant de l’audition du nouveau maire de Ziguinchor ? Pour l’heure, Ousmane Sonko n’est pas encore programmé, si l’on en croit nos sources. Le juge d’instruction décidera souverainement du jour où il va entendre l’opposant politique. Ce dernier avait émis le souhait de passer au cabinet du juge le 6 avril dernier pour être entendu, mais Oumar Maham Diallo a préféréêtre maître du calendrier.
Pour rappel, le magistrat instructeur, voulant éviter des dérapages comme cela avait été le cas en mars dernier, causant la mort de 14 personnes, avait demandé au leader de Pastef de faire une sortie publique pour demander à ses militants de rester chez eux, quand il se rendra au cabinet du juge. Une condition que l’opposant politique a remplie. La balle est donc désormais dans le camp du doyen des juges.
Alassane DRAME
Qui de Adji Sarr et Ndèye Khady Ndiaye dit la vérité ? C’est ce que cherche à savoir le doyen des juges d’instruction qui poursuit sereinement son travail sans faire dans la précipitation et sans qu’on lui dicte son calendrier des auditions. Alors qu’on attendait l’audition au fond de Ousmane Sonko, le magistrat instructeur a préféré changer de tactique et procéder d’abord à une confrontation. Il s’agit de la confrontation entre Adji Sarr et son ex-patronne, Ndèye Khady Ndiaye. C’est jeudi prochain, 14 avril 2022, qu’elles se feront face au cabinet du juge Oumar Maham Diallo. En fait, lors de son audition, Adji Sarr avait chargé à bloc Ousmane Sonko et avait fait des accusations persistantes. Selon elle, la patronne du salon Sweet beauty était souvent présente quand Sonko venait au Salon. Pour dire qu’elle devrait en savoir quelque chose. Poursuivie pour complicité de viol, la patronne du salon Sweet Beauty, pour sa part, a dégagé en touche. Du moins, en ce qui concerne le présumé viol dont fait état son employée. Ndèye Khady Ndiaye avait totalement nié les faits. A l’en croire, il est impossible que l’opposant politique puisse abuser sexuellement de son employée, dans les conditions dans lesquelles ils se trouvaient. Deux déclarations contraires que le juge cherche à confronter pour faire rejaillir la vérité.
Quid maintenant de l’audition du nouveau maire de Ziguinchor ? Pour l’heure, Ousmane Sonko n’est pas encore programmé, si l’on en croit nos sources. Le juge d’instruction décidera souverainement du jour où il va entendre l’opposant politique. Ce dernier avait émis le souhait de passer au cabinet du juge le 6 avril dernier pour être entendu, mais Oumar Maham Diallo a préféréêtre maître du calendrier.
Pour rappel, le magistrat instructeur, voulant éviter des dérapages comme cela avait été le cas en mars dernier, causant la mort de 14 personnes, avait demandé au leader de Pastef de faire une sortie publique pour demander à ses militants de rester chez eux, quand il se rendra au cabinet du juge. Une condition que l’opposant politique a remplie. La balle est donc désormais dans le camp du doyen des juges.
Alassane DRAME