Le Parti de l'Indépendance et du Travail (PIT-Sénégal) monte au créneau contre les licenciements massifs constatés dans la Fonction publique et le secteur parapublic depuis l'arrivée du nouveau pouvoir. Dans une déclaration publiée ce 14 mars 2025, le Secrétariat du Comité Central du parti fustige une politique de "déflation brutale" qui plonge des milliers de familles dans la précarité.
Selon le PIT, ces licenciements, qui touchent notamment les jeunes recrutés dans le cadre du programme "XEYU NDAW YI", sont effectués de manière arbitraire et sans concertation. "Nous assistons à une vague de renvois massifs, sans précédent dans l'histoire du pays, qui ne repose sur aucune base légale et qui viole les dispositions du Code du Travail ainsi que la Loi 61-33", a dénoncé le Secrétaire général du PIT-Sénégal.
Une crise sociale aggravée par l'incompétence du pouvoir
Pour le PIT, ces décisions témoignent d'un "manque d'expérience et d'incurie" de la part du gouvernement actuel, qui ne fait qu'accentuer la crise financière et économique du pays. "Ce pouvoir a été massivement élu sur la promesse de lutter contre le chômage des jeunes. Or, au lieu de s'attaquer à ce fléau, il ne fait que l'aggraver. Ce qui est inadmissible !", a souligné le Secrétaire général.
Le parti d'extrême gauche alerte sur les conséquences dramatiques de cette politique, qui, selon lui, rappelle les ajustements structurels des années 1980 : "Les travailleurs sont traités comme de simples variables d'ajustement, ce qui ne peut qu'entraîner une explosion du chômage et une aggravation de la pauvreté."
Le PIT rejette l'argument du gouvernement selon lequel la situation économique actuelle serait héritée de l'ancien régime. "Les indicateurs économiques et sociaux montraient une évolution régulière du Sénégal ces dernières années. Il est donc difficilement défendable de prétendre aujourd'hui que tous ces progrès reposaient sur de simples falsifications de données", a martelé le Secrétaire général du parti.
Face à cette situation, le PIT appelle les organisations syndicales à ne pas céder aux pressions et à exiger le respect des acquis sociaux. "Nous exhortons les syndicats à rester fermes dans leurs négociations avec le gouvernement. L'apurement complet de la dette intérieure, estimée à plus de 3 000 milliards de francs, est une condition indispensable à la relance du secteur privé et à la création d'emplois décents", a conclu le Secrétaire général du PIT.
Le parti exige du gouvernement des "mesures fortes et courageuses" pour sortir de cette crise, sans remettre en cause les droits des travailleurs et les libertés fondamentales.
Selon le PIT, ces licenciements, qui touchent notamment les jeunes recrutés dans le cadre du programme "XEYU NDAW YI", sont effectués de manière arbitraire et sans concertation. "Nous assistons à une vague de renvois massifs, sans précédent dans l'histoire du pays, qui ne repose sur aucune base légale et qui viole les dispositions du Code du Travail ainsi que la Loi 61-33", a dénoncé le Secrétaire général du PIT-Sénégal.
Une crise sociale aggravée par l'incompétence du pouvoir
Pour le PIT, ces décisions témoignent d'un "manque d'expérience et d'incurie" de la part du gouvernement actuel, qui ne fait qu'accentuer la crise financière et économique du pays. "Ce pouvoir a été massivement élu sur la promesse de lutter contre le chômage des jeunes. Or, au lieu de s'attaquer à ce fléau, il ne fait que l'aggraver. Ce qui est inadmissible !", a souligné le Secrétaire général.
Le parti d'extrême gauche alerte sur les conséquences dramatiques de cette politique, qui, selon lui, rappelle les ajustements structurels des années 1980 : "Les travailleurs sont traités comme de simples variables d'ajustement, ce qui ne peut qu'entraîner une explosion du chômage et une aggravation de la pauvreté."
Le PIT rejette l'argument du gouvernement selon lequel la situation économique actuelle serait héritée de l'ancien régime. "Les indicateurs économiques et sociaux montraient une évolution régulière du Sénégal ces dernières années. Il est donc difficilement défendable de prétendre aujourd'hui que tous ces progrès reposaient sur de simples falsifications de données", a martelé le Secrétaire général du parti.
Face à cette situation, le PIT appelle les organisations syndicales à ne pas céder aux pressions et à exiger le respect des acquis sociaux. "Nous exhortons les syndicats à rester fermes dans leurs négociations avec le gouvernement. L'apurement complet de la dette intérieure, estimée à plus de 3 000 milliards de francs, est une condition indispensable à la relance du secteur privé et à la création d'emplois décents", a conclu le Secrétaire général du PIT.
Le parti exige du gouvernement des "mesures fortes et courageuses" pour sortir de cette crise, sans remettre en cause les droits des travailleurs et les libertés fondamentales.