Prévue pour être plaidé hier, jeudi, 6 juillet 2023, devant le juge correctionnel de Dakar, l'affaire du crash de l'aéronef de Sénégal Air a été renvoyée au 24 août prochain. Cette tragédie est survenue le 5 septembre 2015. Un accident au bout duquel 7 personnes sont mortes. Dans cet avion d'évacuation médicale qui s'est abîmé au large de Dakar, il y avait aussi à bord trois membres d'équipage, de nationalités algérienne et congolaise, deux infirmiers et un médecin, ainsi qu'une patiente française. Et ceux qui sont tenus comme responsables de ce drame sont Magaye Marame Ndao (ancien Directeur général de l'Anacim), Mohamed Mansour Sy (directeur des Transports aériens à l'Anacim), El Hadji Mactar Daff (inspecteur navigabilité), Mamadou Sy (chef du département navigation) et le contrôleur Jacob Lèye. Ils sont poursuivis pour homicide involontaire. Les deux veuves, parties civiles dans cette affaire avaient demandé par le biais de leur avocat que l'Etat du Sénégal soit installé dans la cause. Quant à la veuve du médecin, elle avait installé dans la cause les compagnies d’assurance sans oublier la famille du co-pilote algérien qui avait aussi constitué un avocat pour la défense de ses intérêts.
Crash de l'aéronef sénégalais : le procès de nouveau renvoyé au 24 août
Prévue pour être plaidé hier, jeudi, 6 juillet 2023, devant le juge correctionnel de Dakar, l'affaire du crash de l'aéronef de Sénégal Air a été renvoyée au 24 août prochain. Cette tragédie est survenue le 5 septembre 2015. Un accident au bout duquel 7 personnes sont mortes. Dans cet avion d'évacuation médicale qui s'est abîmé au large de Dakar, il y avait aussi à bord trois membres d'équipage, de nationalités algérienne et congolaise, deux infirmiers et un médecin, ainsi qu'une patiente française. Et ceux qui sont tenus comme responsables de ce drame sont Magaye Marame Ndao (ancien Directeur général de l'Anacim), Mohamed Mansour Sy (directeur des Transports aériens à l'Anacim), El Hadji Mactar Daff (inspecteur navigabilité), Mamadou Sy (chef du département navigation) et le contrôleur Jacob Lèye. Ils sont poursuivis pour homicide involontaire. Les deux veuves, parties civiles dans cette affaire avaient demandé par le biais de leur avocat que l'Etat du Sénégal soit installé dans la cause. Quant à la veuve du médecin, elle avait installé dans la cause les compagnies d’assurance sans oublier la famille du co-pilote algérien qui avait aussi constitué un avocat pour la défense de ses intérêts.
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