Le football et la politique ont ceci de commun qu’ils marchent à la compète. Les partis et les coalitions, comme les clubs et les équipes nationales, font tout pour gagner leurs matchs ou leurs élections. Les premiers à coups de buts et les seconds à coups de bulletins, pour un résultat identique : remporter la victoire. Si nous évoquons cette comparaison, c’est bien parce que Sunugaal vibrera au rythme des deux challenges jusqu’en début 2024, avec en apothéose la Can ivoirienne où Sunugaal va mettre en jeu son titre de champion et le scrutin du 25 février où il mettra en jeu son fauteuil présidentiel. Tout un programme en perspective. En attendant, le dernier de chauffe des Lions, hier, à Lomé, n’a pas été des plus concluants. Disons que El Tactico s’est emmêlé les guiboles dans ses choix…tactiques. Même que ce sobriquet que lui a collé Prési semble lui peser. Oublions-le donc, pour le moment, afin de nous tourner vers Jakarta où les potes de Amara Diouf, qui ne sera pas de la partie, tenteront ce midi de s’insérer dans le sillon des Dioufy et autre Fadiga, pour se payer le Coq gaulois et rejoindre Aiglons maliens et Lionceaux de l’Atlas dans le cercle des 8 meilleurs au monde.
Waa Ji