Loin de la politique politicienne, le Grand Parti s’est intéressé cette fois au drame que vivent les Africains en Lybie. Malick Gakou et Cie invitent les Etats africains, de même que les Nations Unies à agir en ne restant pas insensibles à cette situation qui prend aujourd’hui des proportions inquiétantes. La situation des Africains en Lybie, pour le Grand Parti, mérite une attention particulière. D’après Malick Gackou et ses amis, ces jeunes vivent dans des situations très difficiles, voire inhumaines. «Des centaines de milliers de jeunes Africains sont séquestrés en Lybie, dans des centres officiels de détention, dans des conditions atroces en porte à faux avec les droits humains», dénoncent-ils. Et d’embrayer : «à défaut d’être engloutis par les eaux de la Méditerranée, ils sont empilés les uns sur les autres dans des hangars et dépouillés de toute leur dignité. Leur seul repos reste une mort à la limite de la barbarie et qui semble être la seule issue».
Afin de limiter les dégâts, le Grand Parti demande aux Etats africains de prendre des mesures fermes : «Nous les interpellons sur le désarroi de leur jeunesse qui n’a comme seul recours que le suicide. Face à la gravité de la situation et à l’échec des politiques publiques de nos différents Etats, nous dénonçons, en tant que panafricains, la souffrance de cette jeunesse innocente, sans espoir d’avenir et sans perspectives de bien-être social. Une jeunesse désemparée et condamnée à la déchéance».
Et le Grand Parti d’ajouter qu’en sus des chefs d’Etat africains, les Nations Unies devraient également en faire une affaire afin d’éviter d’autres dégâts. «L’Organisation des Nations-Unies (Onu) doit, en plus de dénoncer ces atrocités, prendre toutes les dispositions afin que cessent ces hécatombes et ces violations flagrantes des droits de l’homme», ont appelé Gakou et ses camarades du Grand Parti.
Madou Mbodj
Afin de limiter les dégâts, le Grand Parti demande aux Etats africains de prendre des mesures fermes : «Nous les interpellons sur le désarroi de leur jeunesse qui n’a comme seul recours que le suicide. Face à la gravité de la situation et à l’échec des politiques publiques de nos différents Etats, nous dénonçons, en tant que panafricains, la souffrance de cette jeunesse innocente, sans espoir d’avenir et sans perspectives de bien-être social. Une jeunesse désemparée et condamnée à la déchéance».
Et le Grand Parti d’ajouter qu’en sus des chefs d’Etat africains, les Nations Unies devraient également en faire une affaire afin d’éviter d’autres dégâts. «L’Organisation des Nations-Unies (Onu) doit, en plus de dénoncer ces atrocités, prendre toutes les dispositions afin que cessent ces hécatombes et ces violations flagrantes des droits de l’homme», ont appelé Gakou et ses camarades du Grand Parti.
Madou Mbodj