Boomerang: Se prémunir



La journée internationale de la femme 2020 a vécu. Mais à «Les Echos», nos femmes ont choisi de nous gâter par un diner qu’elles nous ont offert, hier. Aussi, nous leur souhaitons tout le bonheur du monde. Loin des difficultés de deux de leurs congénères sunugaaliennes, aujourd’hui sous les feux de la rampe. L’une, Marième Diagne, est passée de vie à trépas, malheureusement, dans une affaire de crime passionnel. La jeune fille ayant convolé avec un autre, l’amoureux transis, se sentant trahi, a commis l’irréparable. Une affaire triste, qui pose toutefois en filigrane le respect des engagements. L’autre, Dieyna Baldé, est en butte à un imbroglio judiciaire dont elle ne sait où il finira. En tout cas, en face d’elle, «son bienfaiteur» qui aurait fait plus que l’aider, car la jeune fille est devenue enceinte. Et c’est à la justice de démêler l’écheveau. En tout cas, ces deux affaires, concomitantes à la célébration du 8 mars, mettent bien en exergue cette nécessité impérieuse de mieux protéger les femmes. Mais surtout la nécessité pour elles de se prémunir contre les dangers en évitant de s’engager sans peser le pour et le contre. Souvent, les ors qu’on agite sous vos yeux cachent des desseins inavoués, mesdames.
Waa Ji

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