Bizarre
Aussi bizarre que cela puisse paraître, on sent un certain manque d’harmonie dans la constance du pouvoir de vouloir casser de l’opposant. Et l’affaire PAN et un cas d’école. Car, si le PM Bayal, recevant la société civile, a voulu la jouer cool en évoquant un apaisement, au même moment, le parquet rejetait une demande dument formulée de liberté provisoire du journaliste, au motif qu’il n’allait pas se tenir à carreau.Pourtant, ce dernier, sous les pressions des uns et des autres,s’était engagé au préalable à se garder d’invoquer le dossier. Et le plus bizarre, c’est que Niangal semble s’être lavé les mains de « ces affaires » au nom, comme le signale les Affaires étrangères au Cdh de l’Onu, de la séparation des pouvoirs. Peuchère ! Disons que les faucons du palais tiennent actuellement la corde et Prési leur « sous-traite » tout ce qui restreint les libertés. Et vous n’avez pas remarqué, le conseil des ministres ne parle jamais de démocratie, de protection des libertés, de bonne gouvernance, de reddition des comptes. Toutes choses qui sont loin d’être la tasse de thé du pouvoir. Ce dont bruit le pays n’est jamais discuté, du moins officiellement, à la table du gouvernement. Tout de même bizarre. Waa Ji
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