Le coordonnateur du Forum civil estime que la renégociation de la Convention Etat du Sénégal/Société Eiffage de la Concession de l’autoroute de l’Avenir (Secaa) est une avancée à saluer et à magnifier par rapport à l’existant. Cependant, pour une redevabilité et une transparence effectives et permettre sa meilleure appréciation, Birahime Seck précise que l’Etat doit permettre aux citoyens d’accéder au contrat pour connaître les autres clauses contractuelles. Poursuivant, il fait remarquer que ces acquis ne doivent pas nous faire oublier que la construction de l’autoroute doit faire l’objet d’audit technique, comme souhaité par le président de la République à son arrivée au pouvoir. D’autant plus que sur les 380 milliards initialement débloqués, les 319,2 milliards viennent de l’Etat du Sénégal et non de Eiffage qui n’avait injecté que 61 milliards. Fort de ce constat, il n’a pas manqué de poser le débat du véritable propriétaire de l’autoroute à péage. «En ce moment, à qui doit appartenir l’autoroute ?», s’interroge-t-il.
Birahime Seck pose le débat du véritable propriétaire de l’autoroute à péage
Le coordonnateur du Forum civil estime que la renégociation de la Convention Etat du Sénégal/Société Eiffage de la Concession de l’autoroute de l’Avenir (Secaa) est une avancée à saluer et à magnifier par rapport à l’existant. Cependant, pour une redevabilité et une transparence effectives et permettre sa meilleure appréciation, Birahime Seck précise que l’Etat doit permettre aux citoyens d’accéder au contrat pour connaître les autres clauses contractuelles. Poursuivant, il fait remarquer que ces acquis ne doivent pas nous faire oublier que la construction de l’autoroute doit faire l’objet d’audit technique, comme souhaité par le président de la République à son arrivée au pouvoir. D’autant plus que sur les 380 milliards initialement débloqués, les 319,2 milliards viennent de l’Etat du Sénégal et non de Eiffage qui n’avait injecté que 61 milliards. Fort de ce constat, il n’a pas manqué de poser le débat du véritable propriétaire de l’autoroute à péage. «En ce moment, à qui doit appartenir l’autoroute ?», s’interroge-t-il.
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