La presse n’est pas une courroie de transmission pour relayer des attaques personnes de certains politiques.
Pour mémoire, le Collège du Cnra (Conseil national de régulation de l’audiovisuel), réuni en sa séance du « 02 novembre 2017 » et après en avoir délibéré, a rendu public ses avis sur les dysfonctionnements constatés au cours du deuxième et du troisième trimestre de l’année 2017 (avril à septembre), couvrant les Législatives du 30 juillet passé.
L’entité managée par le doyen Babacar Touré, pour que nul n’en ignore, a décrié l’’atteinte à l’honneur, à la dignité et à la vie privée de citoyens dans certaines émissions, sans que leur soit donnée la possibilité d’y apporter une réplique.
Pour illustrer sa position, le Cnra détaille : « Sur les antennes d’une radio, on a pu entendre un homme public porter des accusations graves concernant l’intégrité et l’honnêteté de personnes.
Les revues de presse, quant à elles, continuent et persistent à se faire l’écho des propos, formules qui ne respectant ni la vie privée ni l’honneur d’autrui, précisément de personnalités publiques dans ce contexte électoral.
Les débats politiques sont, pendant la campagne électorale, relayés par les médias audiovisuels qui entretiennent ainsi un climat pollué par des propos discourtois et irrévérencieux ».
Toutes choses qui, de l’avis du Cnra, constituent une violation de l’article 9 de la loi n°2006-04 du 04 janvier 2006 et de l’article 20 du cahier des charges applicable au titulaire d’une autorisation de diffusion de programmes de télévision privée.
« Dans les phases de préparation des élections législatives, certains médias ont servi de relais à des propos inconvenants tenus contre des personnes ou des Institutions », charge encore le Conseil national de régulation de l’audiovisuel.
Pour mémoire, le Collège du Cnra (Conseil national de régulation de l’audiovisuel), réuni en sa séance du « 02 novembre 2017 » et après en avoir délibéré, a rendu public ses avis sur les dysfonctionnements constatés au cours du deuxième et du troisième trimestre de l’année 2017 (avril à septembre), couvrant les Législatives du 30 juillet passé.
L’entité managée par le doyen Babacar Touré, pour que nul n’en ignore, a décrié l’’atteinte à l’honneur, à la dignité et à la vie privée de citoyens dans certaines émissions, sans que leur soit donnée la possibilité d’y apporter une réplique.
Pour illustrer sa position, le Cnra détaille : « Sur les antennes d’une radio, on a pu entendre un homme public porter des accusations graves concernant l’intégrité et l’honnêteté de personnes.
Les revues de presse, quant à elles, continuent et persistent à se faire l’écho des propos, formules qui ne respectant ni la vie privée ni l’honneur d’autrui, précisément de personnalités publiques dans ce contexte électoral.
Les débats politiques sont, pendant la campagne électorale, relayés par les médias audiovisuels qui entretiennent ainsi un climat pollué par des propos discourtois et irrévérencieux ».
Toutes choses qui, de l’avis du Cnra, constituent une violation de l’article 9 de la loi n°2006-04 du 04 janvier 2006 et de l’article 20 du cahier des charges applicable au titulaire d’une autorisation de diffusion de programmes de télévision privée.
« Dans les phases de préparation des élections législatives, certains médias ont servi de relais à des propos inconvenants tenus contre des personnes ou des Institutions », charge encore le Conseil national de régulation de l’audiovisuel.