Attaques contre le député-maire des Agnams: La Cojer de Matam dément, dénonce une capagne de désinformation sur fond d'intox et avertit les détracteurs de Farba Ngom



 
 
Alors qu’on se dirige directement vers les élections territoriales de janvier 2022, les appétits des uns et des autres s’aiguisent en direction d’un poste de maire ou de président de Conseil départemental. Mais, dans ce jeu, certains «mal-classés», au lieu de travailler à convaincre, croient pouvoir se frayer un chemin en s’attaquant aux autres. À Matam, alors que le député et maire des Agnams, Farba Ngom, est attaqué de toutes parts, c’est le coordonnateur de la Convergence des jeunesses républicaine (Cojer) qui est monté au créneau pour lui servir de bouclier. 
 
 
 
Les membres de la Convergence des jeunesses républicaines (Cojer) de Matam le laissent entendre : il est impossible d’exister politiquement dans la région si on n’est pas député Farba Ngom. Ces jeunes camarades du président Macky Sall ont, en effet, décidé d’aller au front pour défendre le maire des Agnams. Ils l’ont fait à travers un communiqué publié hier.
Dans le document, les jeunes de l’Apr Matam indiquent que depuis quelques temps et de manière récurrente, l’honorable député et maire de Agnam Farba Ngom est victime de campagnes de désinformation sur fond d'Intox savamment distillée par des gens tapis dans l’ombre, à travers un procédé vieux comme le monde.
«D’abord, ça commence par un post sur les réseaux sociaux, suivi d’une reprise par un média en ligne puis par un enchaînement de titres plus sulfureux les uns que les autres», constatent-ils d’emblée, indiquant qu’il en est actuellement d’une pseudo-saisine de l'Ofnac pour soumettre à cette institution de prétendus dossiers d’enrichissement, comme si le député maire Farba Ngom était détenteur d’un mandat de gestionnaire d’un budget de l’État du Sénégal. «Il en fut également à quelques jours de la Tabaski lorsqu’une rumeur sortie d’on ne sait où lui attribua la paternité d’une violation flagrante du code de la route par un troupeau de moutons. Il y a quelques mois également, le même procédé a été utilisé pour parler d’un prétendu vol chez le député-maire d’une somme de 250 millions», exposent-ils encore.
Ainsi, assurant que rien de ce qui est ainsi avancé n’est constitutif d’un début d’information avérée, les membres de la Convergence des jeunesses républicaine notent que l’objectif visé par les commanditaires et leurs complices tapis dans les médias est moins de partager une information que de faire circuler une rumeur malveillante portant atteinte à l’honneur de Farba Ngom.
D’ailleurs, insistent-ils, il est curieux également que le même procédé ne fasse surface qu’en des occasions où l’actualité politique est en ébullition. «Le député-maire Farba Ngom, toujours engagé à en découdre en portant l’affaire devant la justice, a jusqu’ici écouté les voix qui l’en ont dissuadé», révèlent-ils, disant cependant que cela ne saurait continuer. «Autant il est exigé de lui qu’il  n’abuse pas de ses positions pour contrevenir à la Loi, autant ces informations non fondées distillées via des médias qui ont pignon sur rue ne sauraient continuer. La liberté de la presse est limitée par l’obligation d’informer vraie !», notent-ils encore.
 
 
 
 
Sidy Djimby NDAO
LES ECHOS

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