«Face à ce drame sans nom, décréter un deuil national virtuel est sans doute une bonne chose, un moyen pour attirer l’attention, sensibiliser, partager une douleur, exprimer notre sympathie et enfin prier pour ceux qui nous ont quittés. Cependant, cela restera insuffisant en raison de l’ampleur du désespoir et de l’absence de perspectives meilleures chez une jeunesse désespérée. Les véritables réponses doivent être structurelles, réalistes et durables. Le temps est venu pour les dirigeants de ce pays de changer radicalement de paradigmes. L’espoir peut exister et doit venir de politiques économiques et sociales qui prennent en compte l’aspiration des jeunes, notamment à un mieux-être légitime et réalisable. La redéfinition des priorités dans ce pays ne peut plus attendre».
Abdoul Mbaye aussi
«Face à ce drame sans nom, décréter un deuil national virtuel est sans doute une bonne chose, un moyen pour attirer l’attention, sensibiliser, partager une douleur, exprimer notre sympathie et enfin prier pour ceux qui nous ont quittés. Cependant, cela restera insuffisant en raison de l’ampleur du désespoir et de l’absence de perspectives meilleures chez une jeunesse désespérée. Les véritables réponses doivent être structurelles, réalistes et durables. Le temps est venu pour les dirigeants de ce pays de changer radicalement de paradigmes. L’espoir peut exister et doit venir de politiques économiques et sociales qui prennent en compte l’aspiration des jeunes, notamment à un mieux-être légitime et réalisable. La redéfinition des priorités dans ce pays ne peut plus attendre».
Mbaye Thiandoum
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