Pour un découvert de plus de 3 millions de nos francs, Coumba Gawlo Seck a été traduite en justice par la Banque internationale pour le commerce et l’industrie du Sénégal (Bicis). Cette affaire a atterri devant le juge civil qui a condamné l’artiste chanteuse à payer 500.000 francs en sus du préjudice. L’auteure de «Yomalé» ayant interjeté appel, l’affaire revient le 7 décembre prochain devant le juge du second degré. Pas très connue dans des frasques comme c’est le cas souvent avec les stars, Coumba Gawlo Seck est citée cette fois dans une histoire de sous. En effet, la Banque internationale pour le commerce et l’industrie du Sénégal (Bicis) la poursuit pour 3.665.116 francs Cfa. Après avoir attendu vainement d’être remboursée, l’institution bancaire a assigné en paiement Coumba Gawlo Seck devant le juge civil pour recouvrer son argent.
Cliente de la banque depuis bien longtemps, l’artiste chanteuse bénéficiait de certains avantages comme tout bon client solvable. Selon la Bicis, qui l’a traînée en justice, Coumba Gawlo Seck bénéficiait ainsi de certaines facilités. Il lui était permis de faire des dépassements dans son compte jusqu’à un certain montant. C’est ce qui a fait qu’elle a pu faire un dépassement dans les retraits sur son compte jusqu’ à hauteur de 3.665.116 de nos francs.
Malheureusement, Coumba Gawlo Seck n’est jamais revenue pour boucher ce découvert, si l’on en croit l’institution bancaire. Une mise en demeure lui a ainsi été envoyée afin qu’elle paie sa dette. Sans succès. La chanteuse sénégalaise n’a pas daigné leur remettre le plus petit kopeck. Lasse d’attendre et de la relancer, la banque a saisi le juge civil. Cette affaire a été tranchée le 24 mai dernier. Et pour la sentence, le juge a condamné Coumba Gaowlo Seck à payer à la Bicis 3.665.116 francs, mais également 500.000 francs à titre de dommages pour résistance abusive.
Cependant, la chanteuse a attaqué le jugement du 24 mai dernier en interjetant appel. Les deux parties ont comparu, via leurs conseils, jeudi dernier, devant le juge d’appel civil, mais elles doivent, chacune, déposer des dossiers. L’affaire a donc été renvoyée et les parties devront faire face devant le juge d’appel le 7 décembre prochain.
Alassane DRAME
Cliente de la banque depuis bien longtemps, l’artiste chanteuse bénéficiait de certains avantages comme tout bon client solvable. Selon la Bicis, qui l’a traînée en justice, Coumba Gawlo Seck bénéficiait ainsi de certaines facilités. Il lui était permis de faire des dépassements dans son compte jusqu’à un certain montant. C’est ce qui a fait qu’elle a pu faire un dépassement dans les retraits sur son compte jusqu’ à hauteur de 3.665.116 de nos francs.
Malheureusement, Coumba Gawlo Seck n’est jamais revenue pour boucher ce découvert, si l’on en croit l’institution bancaire. Une mise en demeure lui a ainsi été envoyée afin qu’elle paie sa dette. Sans succès. La chanteuse sénégalaise n’a pas daigné leur remettre le plus petit kopeck. Lasse d’attendre et de la relancer, la banque a saisi le juge civil. Cette affaire a été tranchée le 24 mai dernier. Et pour la sentence, le juge a condamné Coumba Gaowlo Seck à payer à la Bicis 3.665.116 francs, mais également 500.000 francs à titre de dommages pour résistance abusive.
Cependant, la chanteuse a attaqué le jugement du 24 mai dernier en interjetant appel. Les deux parties ont comparu, via leurs conseils, jeudi dernier, devant le juge d’appel civil, mais elles doivent, chacune, déposer des dossiers. L’affaire a donc été renvoyée et les parties devront faire face devant le juge d’appel le 7 décembre prochain.
Alassane DRAME