Les proches de feue Fatoumata Moctar Ndiaye ont célébré hier l’an 1 de l’assassinat de celle-ci par une journée de prières ponctuée de récital de Saint Coran à Pikine Khourounar, pour le repos de l’âme de la défunte. Face à la presse, ils ont fait des révélations renversantes sur le dossier en instruction. Pikine Khourounar s’est souvenu, hier, du meurtre cruel de la 5ème vice-présidente du Conseil économique social et environnemental (Cese), Fatoumata Moctar Ndiaye. Une foule composée de parents, de proches, d’amis et de voisins a fait le déplacement pour formuler des prières pour la disparue. La famille éplorée a saisi son face-à-face avec les journalistes pour accuse des commanditaires de l’assassinant qui, selon elle, soutenant relayer les propos du présumé criminel Samba Sow, sont dans les rangs de l’Alliance pour la République (Apr). «Samba Sow nous a rapporté que le ou les commanditaire (s) sont à l’Apr», a soutenu le frère de la défunte, Amadou Moctar Ndiaye, dit Ciré.
Il a listé les griefs de la famille et décrié l’attitude de l’Etat dans le dossier de leur sœur. Il cite : «la non constitution de l’Etat en tant que partie civile, ne serait-ce que par l’intermédiaire du Conseil économique social et environnemental où la regrettée Fatoumata Moctar Ndiaye occupait les fonctions de 5ème vice-présidente ; la non-assistance de notre famille par au moins un avocat constitué par l’Etat et l’absence ou le manque d’approfondissement de l’enquête dès lors que le criminel a reconnu ce que tout le monde soupçonnait». «Le mobile du meurtre n’est pas d’ordre financier, c’est un crime commandité. La vie du présumé criminel menacée» D’après les révélations du présumé meurtrier, Samba Sow, poursuit M. Ndiaye, «il s’agit d’un crime commandité et non un crime au mobile financier, comme prétendument indiqué auparavant. A notre connaissance, les personnes incriminées ne seraient toujours pas entendues. Notre souhait est de voir cette affaire jugée très rapidement, avant que quelque chose de regrettable n’arrive au présumé meurtrier qui, d’après certaines sources, serait menacé de mort», a fait remarquer le frère de la victime. «Le fils de la défunte, Adama Ba, traîne des séquelles graves et un traumatisme sérieux» Les proches de la famille affirment que le fils de la défunte, Adama Ba, qui aurait échappé de justesse à la furie meurtrière de Samba Sow, traîne des séquelles graves et un traumatisme sérieux.
Vieux Père NDIAYE
Il a listé les griefs de la famille et décrié l’attitude de l’Etat dans le dossier de leur sœur. Il cite : «la non constitution de l’Etat en tant que partie civile, ne serait-ce que par l’intermédiaire du Conseil économique social et environnemental où la regrettée Fatoumata Moctar Ndiaye occupait les fonctions de 5ème vice-présidente ; la non-assistance de notre famille par au moins un avocat constitué par l’Etat et l’absence ou le manque d’approfondissement de l’enquête dès lors que le criminel a reconnu ce que tout le monde soupçonnait». «Le mobile du meurtre n’est pas d’ordre financier, c’est un crime commandité. La vie du présumé criminel menacée» D’après les révélations du présumé meurtrier, Samba Sow, poursuit M. Ndiaye, «il s’agit d’un crime commandité et non un crime au mobile financier, comme prétendument indiqué auparavant. A notre connaissance, les personnes incriminées ne seraient toujours pas entendues. Notre souhait est de voir cette affaire jugée très rapidement, avant que quelque chose de regrettable n’arrive au présumé meurtrier qui, d’après certaines sources, serait menacé de mort», a fait remarquer le frère de la victime. «Le fils de la défunte, Adama Ba, traîne des séquelles graves et un traumatisme sérieux» Les proches de la famille affirment que le fils de la défunte, Adama Ba, qui aurait échappé de justesse à la furie meurtrière de Samba Sow, traîne des séquelles graves et un traumatisme sérieux.
Vieux Père NDIAYE