Exclusivité iRadio ! Plus de 100 jours après le décès de Ousmane Tanor Dieng, le Haut Conseil des Collectivités locales et territoriales a un nouveau président. Comme annoncé dès le départ, le chef de l’Etat, Macky Sall, a finalement porté son choix sur Aminata Mbengue Ndiaye, qui occupait jusqu’ici le fauteuil de ministre de la Pêche et de l’Economie maritime. Secrétaire général par intérim du Parti socialiste (PS) où elle assure également la succession de Tanor Dieng, la responsable socialiste devient, de fait, la quatrième personnalité de l’Etat derrière le président de la République Macky Sall, le président de l’Assemblée nationale Moustapha Niasse et la présidente du Conseil économique social et environnemental, Aminata Touré.
Par ailleurs, à la tête du département ministériel en charge de la pêche et de l’économie maritime, Macky Sall a porté son choix sur le maire de Dakar Plateau, Aliou Ndoye, autre responsable du Parti socialiste qui monte en puissance. Une façon, pour le patron de la coalition présidentielle de renforcer un allié qui fait face à une nouvelle reconfiguration entre le décès de son ex homme fort, Tanor Dieng, et la sortie de prison de Khalifa Sall, qui est annoncé comme le leader à même de pouvoir recoller les morceaux pour une reconquête du pouvoir par les socialistes au moment où les libéraux sont soupçonnés de manœuvrer pour se retrouver et prolonger leur séjour au palais, après les 24 ans du PDS et de l’APR né de ses flancs.
Par ailleurs, à la tête du département ministériel en charge de la pêche et de l’économie maritime, Macky Sall a porté son choix sur le maire de Dakar Plateau, Aliou Ndoye, autre responsable du Parti socialiste qui monte en puissance. Une façon, pour le patron de la coalition présidentielle de renforcer un allié qui fait face à une nouvelle reconfiguration entre le décès de son ex homme fort, Tanor Dieng, et la sortie de prison de Khalifa Sall, qui est annoncé comme le leader à même de pouvoir recoller les morceaux pour une reconquête du pouvoir par les socialistes au moment où les libéraux sont soupçonnés de manœuvrer pour se retrouver et prolonger leur séjour au palais, après les 24 ans du PDS et de l’APR né de ses flancs.